Après la tragédie... [dans le salon]{PV ADELINE}

¤_Personne ne pourrait rien y faire. J'avais decider d'oublier cette chose horrible. La Magie. Elle était tout simplement abobinable, et je n'y toucherais plus jamais. Et si Adeline se mettait à en faire devant moi dans la maison, je serais très bien capable de m'en aller aussi vite que dire "Guinness Ouf!". Elle le savait, et je ne reviendrais plus jamais sur ma decision, c'était comme ça. J'avais peur... Oui peur... Et alors ? Je venais de perdre mes parents, pour cause de magie. Comment avais-je pu trouver la magie si... merveilleuse? L'une des plus belles choses sur la terre, disais-je. J'avais été tellement stupide! Elle n'était que source de dangers, de mesaventures, et surtout pas de merveilles!
Je la detestais à jamais, et plus aucune baguettes ne viendrait à ce poser entre mes doigts. En plusieurs mois, je n'avais connu que mesaventures. Mes parents étaient morts, et un abruti avait brisser le coeur de ma soeur. Un sorcier, bien sûr. Quesqu'y allait nous tomber sur la figure, à present?

Je marchais avec ses sombres pensées dans la tête, les mains dans mes poches, les yeux rivés sur le sol de cailloux devant mon manoir familiale. J'y avais pas mal de souenirs avec mes parents, mes frères et ma soeur. A présent, je redoutais d'y allais, je ne voulais pas me souvenir des merveilleux moments qu'on avait passer en famille, ici, et ailleurs... Ce manoir, ils nous l'avaient donner quand leur avait prononcer le souhait de rester en Angleterre pour nos études. Ils avaient toujours tout fait pour notre bien... Des parents géniaux. A present, j'étais capitaine d'une équipe de Quidditch, et la gardienne. J'en étais plus que fière, mais combiens de temps avais-je perdu, en restant ici, sans partir autre part dans la monde avec mes frères et mes parents? Ils étaient venus autant de fois qu'ils l'avaient pus, mais... Des larmes roulaient à present sur mes joues pâles. J'aurrais voulu les avoirs beaucoup plus avec moi. Et mes frères me manquaient horriblement... Ils avaient prevus de venir bientôt nous rendre visite au manoir, où nous allions decider de où enteret nos propres parents... L'Irlande, les terres de ma mère ? ou l'Amérique, les terres de mon père ? C'était or de question qu'ils aillent dans un endroit different. Ces pensées m'étaient aussi douloureusement moralement que des miliers d'aiguilles dans mon coeur. Si j'hurlais, ils ne reviendraient quand même pas, et pourtant, j'avais tellement envie de hurler... Au son de " Erin Gra mo Chroi ", j'ouvrais la porte du grand manoir. Je ne savais pas si ma soeur serait là. Je me dirigeais dans le grand salon, pris un coussin, et m'engroufrait la tête dedans, le coussin devenant de plus en plus humide.

Je venait de me reveiller, c'était lundi seul jours ou je ne bossait pas a la glacerie mon assistant était la bas pour tenir le magasin et moi sa me laissait le temps de me reposer. J'était fatigué, cela faisait un mois que j'avait était plaqué juste avant mon mariage et mes parents venaient de mourir. J'était plus que triste et ma soeur m'avait surement entendus pleurer dans ma chambre étendus sur mon lit. Pour combler le tout j'était depuis une semaine hypra malade. C'était vraiment une sale galere dans laqu'elle j'était embarqué. Je déprimait et cela ce répércuter sur mon visage, qui était cerner et blancasse. En ce moment meme je pleurait et mon mascara coulait. Mais je m'en fichait, je n'avait plus personne a qui plaire alors bon... Je pouvait me laisser aller. J'était affalée sur le canapé, en train de regarder notre album de famille. Ce n'était pas possible qu'ils étaient mort alors qu'ils y avait a peine trois mois je les tenaient dans mes bras... Non c'était impossible. Et pour courronner le tout il fallait les enterrer. Nous cinq déliberions avec les hiboux sur le lieux. J'avait proposer de les incinérer et de dispércer leur cendres dans l'océan. Leur reve étaient de voyager comme ils l'avaient fait toute leur vie. Depuis trois jours j'avais des crises commes celle ci de nostalgie et de pleurs. Mais sa ce calmait laissant place a quelques moments d'acalmie. Et pour courroner le tout Juliette refusait la magie et si je lançait un sort en sa présence c'était tout de suite une apothéose de cris.

J'avais soif et une grosse envie de chocolat chaud. Je me levais et ouvrer notre frigo saisissait la bouteille et prenait un gros bol dans lequel j'enfournais trois grosses cuillerres de cacao. Je rajoutait le lait et mettait tout sa dans le micro onde. On était vachement équipé moldu dans ce manoir car il fallait avouer que c'était vachement pratique. Quand il sonna je récuperait mon bol de chocolat et le mettait sur un plateau. Soudain j'entendis la porte s'ouvrir : Juliette. Cela se confirmait quand je l'entendis pleurer dans le coussins. " Va falloir un deuxieme bol" pensais je en commencant a refaire la meme opération que pour le mien. Soudain je vis la chouette effrai de Lucas venir taper aux carreaux de la fenetre je lui ouvrait. On la voyait de plus en plus souvent, Minerve.
-Salut toi. Je lui ouvrait la fenetre et la carraissait avant de récuperer la lettre et de l'ouvrir :

" Salut mon Adeline chérie.

Ciaran, Killian et moi arrivont dans trois jours au manoir avec les corps de papa et maman pour la veiller funebre. On voulait etre la pour vous épauler vous etes les deux petites. Tenez bon on arrive.

Ton frere chéri

Lucas "

Je mettait la lettre dans ma poche avant de récupérer le bol de chocolat chaud et de le mettre aussi sur le plateau. C'était un petit moyen de nous réconforter mais il manquait les chocogrenouilles et les fizwizbiz que je chercher dans l'armoire. Je pris le plateau un peu lourd et partit vers le séjour ou je trouvait ma soeur en train de pleurer. Je n'avait jamais était tres protectrice envers elle bien que nous étions tres lier et j'était plutot maladroite dans ce qui était du réconfort.

- Salut soeurette. Regarde j'ai du chocolat chaud.

Je posait le plateau sur la table basse et m'asseyer du mieux que je pouvait sur la place réstante.

- Nos freres arrivent dans trois jours avec les corps de papa et maman.Ma voix s'étranglait a la fin de la phrase. Je n'arrivait pas a me faire a l'idée qu'ils étaient mort. Et quand je verrait leur corp je pourrait enfin faire mon deuil. Des larmes perlerent le long de mes joues.

¤_ Le salon me semblait vide. Plus vide qu'a l'ordinaire, extremement... fade. Assise sur le canapé, la tête dans le coussin, je ressemblais à une petite fille. J'étais recroqueviller sur le vaste canapé noir, les pieds dessus, et les genoux contre ma poitrine. Je resistais à l'envie de faire le lamento. Mais je n'étais pas à ce stade, il ne fallait pas exagerer. Desesperée, pas desesperant. Une difference? D'autres diraient que non, mais moi si. Ce n'était même pas de la phylosophie. Il suffisait de reflechir. Bref, j'observais les alentours, comme si je n'avais jamais vu ce salon, comme si j'étais étrangère à cette pièce qui m'avait parrue autrefois si... familiale. Elle ne l'étais plus, ni en apparence, ni en profondeur. Plus depuis que mes parents et mes frères adorés avaient quitter le manoir. Pouvait-on dire que deux soeurs - aussi aimante du manoir fuent elles- pouvaient constituer une famille a elles toutes seules? Je ne pense pas. Ce n'étais pas une famille... C'était... Un membre de ma famille. Or quand Adeline et moi étions reunis dans cette pièce, elle se transformait en pièce fraternel. Une pièce parfaite pour deux soeurs. J'aimais cette pièce. Elle avait un potentielle énorme de se transformer selon les personnes - et leurs relations - qui y entraient. Seulement aujourd'hui, je voyais tout en noir. Et elle ne me portait plus autant d'interet que d'ordinaire. Avant, j'étais surprise par chaque recoin, même en les ayant vus mainte et mainte fois. Etrange, non? Magique. Mais maintenant, je n'aimais rien qui sortait de l'ordinaire, du fade. Je ne voulais plus sentir les palpitations d'exitations en moi lorsque je voyais quelque chose d'étrange, magique... mystérieux. Je voulais rester dans le trou noir où j'étais dans ma tête. Un trou noir fade, ou rien de magique et de nouveau ne pouvait entrer. Répugnant, hein? Sans interet ? Lourd ? Trop habituel ? Ennuyeux ? Tans mieux, justement. Parce que je serai enfermée dans cette bulle de protection jusqu'à la fin de mes jours. Et uniquement parce que je l'avais decider. Ainsi, je ne risquais pas le danger. Il ne viendrait pas à moi non plus. Qui aurrait voulu d'une fille ennuyeuse à souhait ? Une fille completement ennuyeuse ? Personne. Ainsi, je ne risquais pas d'attirer quiconque à moi. Je ne tomberais pas amoureuse, ou du moins j'empecherai toute amour d'entrer en moi, ce qui me permettrait de ne jamais souffrir comme avait souffert ma soeur. Je haïssais l'homme - le sorcier - qui l'avait laisser tomber. Je lui en voulait au dessus des mots. Et je ne me ferais pas d'amis - qui voudrait d'une fille ennuyeuse pour amie? - pour eviter toute trahison. Bref, j'allais m'enfermer et attendre que tout passe, dans la plus grande impassibilité de ma part. La plus grande des indifferences.

Un moment, j'eu la malchance d'arrêter mes pensées sur mes amis. Alice, ma meuilleure amie. Helen, Harmony, Nathan, ... Penser à eux me fit du mal. J'allais surement les faire souffrir, si je faisais comme j'avais decider. La dépression semblait me gagner lorsque ma soeur entra dans le salon. J'essuyais mes larmes douloureuses en vitesse, même si je savais d'avance qu'Adeline les avaient vus. Mais elle ne laissa rien parraître. Ce n'était pas dans ces habitudes, de toute façon. Et en se moment, je ne pouvais en être que soulagée.

- Salut soeurette. Regarde j'ai du chocolat chaud.

Elle posa un plateau sur la table basse. Je pris la tasse qui m'était destinée puis reprit ma position d'origine. J'observais les vapeurs de chaleur s'echapper de la tasse, insignifiantes petites vapeurs ondulantes... Je humais la tasse - verifiant sans m'en rendre compte s'il y avait quelque chose qui avait rapport avec la magie. La tasse chaude rechauffa mes mains froides. Je pris une gorgée qui me fit du bien. Je n'osais pas me tourner vers Adeline.

- Nos freres arrivent dans trois jours avec les corps de papa et maman. Dit-elle, sa voix s'étranglant à la fin de la phrase.

Alors, je regrettais immédiatement d'être là, dans cette pièce. Parce que je ne voulais pas parler de ça, sachant que c'était égoïste car Adeline en avait besoin. Mais je ne comprenais pas pourquoi. A quoi bon remuer le couteau dans la plaie ? Je me tournais enfin vers ma soeur aînée. Les larmes que je vis sur ses joues me fient mal. J'aurrai tellement voulu qu'elle ne subisse pas autant d'un coup... Gabriel, puis papa et maman... C'était injuste. Ma soeur était une personne géniale, elle ne meritait pas tout ça. Maladroitement - j'étais un peu comme elle, pas très douée pour consoler - je posais ma tasse sur la petite table, et la serrait dans mes bras, en carressant ses cheveux.

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