Et voila du haut de mes vingt cinq ans je me retrouver cloitrer dans un bureau alors que j'aurais du passer ma vie dans le ciel comme un oiseau. Je devait ma vie a des soins intensif a sainte mangouste mais pour moi ma vie c'était terminé quand m'on adversaire m'avait poussé du haut de vingt metres. Bien sur sans preuves que cela fussent fais expres on avait qualifié ma chute d'accident. Comme si une joueuse proffessionel qui sais monté sur un balai depuis ses cinq ans ( donc depuis vingt ans) pouvait malheureusement perdre l'équillibre a la suite d'un petit choc... Depuis cette accident ( six mois) je ne pouvait plus bouger ma jambe droite ou en tout cas plus assez pour pouvoir remonter sur un balais. Je marchait a ma grande répugnance avec des béquilles et encor je m'en sortait bien. Je n'aurais meme pas du sortir de l'hopital si tot mais j'avais refusé de résté trois mois de plus dans cette horible lit. En contrepartit on m'avait offert de pouvoir consacré ma vie au jeux et au sports magique en tant que directrice de cette séction. Mais je devais dire que je n'avais accepter ce poste que de mauvaise grace. Enfin j'était ausii poussé par la curiosité car je voulais découvrir cette autre face du quidditch qui était désormais la seule que je pouvais envisagé. De plus j'avais un grand respect pour la nouvelle ministre. Elle avait mérité son poste pas comme l'autre fou que nous avions avant la révolte.
Je saisissait mon sac,j'était toujours chez moi, vétu comme a l'accoutumé d'un haut blanc et d'une sorte de joggig noire m'arrivant a mi mollet. A mon plus grand désaroi je saisis mes béquilles et marchait avec rageusement. Ma jambe droite me faisait trembler a chaque mouvement qu'elle faisait et je combattait ça avec une grimace de couleurs. Je ne pourrait jamais remonté sur un balai quoi que je fasse a moin que l'on trouve un moyen de réparer cette foutu jambe mais pour l'instant il n'y avait rien a faire. Mon reve était détruit et cela pour toujours. Des larmes virent perler aux coins de mes yeux non pas a cause de mon mal mais a cause de cette terrible décéption. Je crispait encor mes mains sur mes béquilles et avec un gros éffort de concentration je transplanait dans le hall du ministere: bondé comme toujours... Je me dirigeais vers l'ascenceur et aussi a l'étroit que je fusse je fus ravie d'etre entouré de ne pas etre seule. J'avais eu tendance a me replier sur moi meme c'est derniers temps.
Arriver au niveau ou je jevais m'arreter je m'extirpa de la cabine avec peine entre une vielle dame au levres pincé et un personnage un peu dégindé. Les bureaux des jeux et sports magique était surement les plus chaleureux. Les avions en papier volait partout et j'entendais des éclats de rire. Et dire que j'allais devoir géré ce niveau. En serais je capable ? J'était surement la plus jeune de toutes ses personnes et j'était novices dans ce domaine par apport a eux. Réeussirais je a imposer mes idées ? Le ministre m'en jugeait capable, je devais l'etre !
Je m'approchait de la porte ou il y avait le nom de directeur et avec ma baguette j'inscrivait mon nom "Lyra Parry" en petite lettre violette et argenté les couleurs de ma toute premiere équipe celle de poudlard :Les silvers dragons. Une grande histoire d'amour entre eux deux. J'ouvrait la porte. Un grand bureau sobre: un bureau, un fauteuil , une lampe, deux fauteuils de l'autre coté du bureau, un placard,et une armoire. Je m'installais sur le gros fauteuil me laissant tombé balançant les béquilles de l'autre coté de la piece. Confortable mais un peu usée. Bah j'allait pas faire la fine bouche. Je décider de prendre possesion de ses lieux et ouvrait mon sac a dos. Avec mes habits et ma queue de chevale a la va vite on aurait put penser que j'était la fille du directeur. Je saisis mes cadres photos ou je retrouvais mon ancienne équipe, une avec les Silvers dragons , une avec mes amies de poudlard et une avec ma soeur. Je sortit aussi ma trousse avec mon stylo ( belle invention moldu) noir, une bouteille d'ice tea mangue ( j'aime les moldu) et un petit paquet de bonbon que je cachais dans mon tiroir. Je devais avoir la visite du ministre et de sa soeur aujourd'hui pour recevoir mes instructions. Songeant que la piece et moi meme devions etre un minimum présentable je récupérais mes béquilles a l'aide d'un Accio et détachait mes cheveux que je brossait en vitesse avec un sort. Je sortit une sorte de sweat shirt violet où au dos semblait voletait un dragon d'argent et me regardait dans un miroir de poche. C'était déja mieux...
A peine eus je fini que l'on toquait a la porte de mon bureau. D'une voix forte je disait a la personne d'entrée et me relevait (avec beaucoup de mal) de ma chaise en poussant le plus possible sur mes mains .
Sam 29 Nov - 13:58